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Communiqués de presse

Appréhender l’hétérogénéité clinique de la maladie de Sjögren - Avril 2024

Des équipes du département de rhumatologie de l’hôpital Bicêtre AP-HP, de l’Université Paris-Saclay et de l’Inserm, coordonnées par le Dr Yann Nguyen et les Prs Xavier Mariette et Raphaèle Seror, ont cherché à identifier différents phénotypes de la maladie de Sjögren. Les résultats de cette étude ont fait l’objet d’une publication parue le 1er mars 2024 dans la revue Lancet Rheumatology, accompagnée d’un éditorial.

 cp_apprehender_lheterogeneite_clinique_de_la_maladie_de_sjogren.pdf - ( 164.11 Ko)

Utilisation des immunomodulateurs chez les patients immunodéprimés atteints de pneumonie suite à un Covid-19 - Mars 2024

Des équipes du département d’hématologie de l’hôpital Necker-Enfants malades AP- HP, du centre d’épidémiologie clinique de l’hôpital Hôtel-Dieu AP-HP, du département de rhumatologie de l’hôpital Bicêtre AP-HP, de l’Inserm, de l’Université Paris Cité, de l’Institut Imagine, et de l’Université Paris-Saclay, coordonnées par les Prs Olivier Hermine, Raphaël Porcher et Xavier Mariette, ont étudié l’utilisation des immunomodulateurs chez les patients immunodéprimés atteints de pneumonie suite à un Covid-19 sévère ou critique. Les résultats de cette étude ont fait l’objet d’une publication parue le 9 février 2024 dans la revue Lancet eClinical Medicine.

cp_corimuno_vf.pdf - ( 226.04 Ko)

Une vision innovante de la classification des cancers est indispensable pour la recherche et les patients - Janvier 2024

Dans un article publié dans la revue Nature, des médecins-chercheurs de Gustave Roussy et de l’Université Paris-Saclay expliquent pourquoi il est impératif d’évoluer vers une classification biologique des cancers métastatiques, et comment la segmentation actuelle empêche parfois l’accès à des traitements innovants pour des millions de malades dans le monde.

cp_comment_nature_classification_moleculaire_des_cancers_metastatiques.pdf - ( 500.22 Ko)

VIH : le traitement précoce, clé de la rémission - Janvier 2024

Les personnes vivant avec le VIH doivent prendre un traitement antirétroviral à vie pour empêcher la multiplication du virus dans l’organisme. Cependant, certaines personnes qualifiées de « contrôleurs post-traitement » ont pu interrompre leur traitement tout en maintenant une charge virale indétectable durant de nombreuses années. La mise en place d’un traitement précoce pourrait favoriser ce contrôle du virus sur le long terme après l’arrêt du traitement. Des chercheurs de l’Institut Pasteur, du CEA, de l’Inserm, d’Université Paris Cité et de l’Université Paris-Saclay, en collaboration avec l’Institut Cochin, et avec le soutien de MSD Avenir et l’ANRS MIE, ont identifié, à l’aide d’un modèle animal, une fenêtre d’opportunité pour mettre en place un traitement qui favorise la rémission de l’infection par le VIH : initier le traitement à quatre semaines après l’infection permettrait de contrôler le virus sur le long terme suite à l’arrêt d’un traitement antirétroviral suivi pendant deux ans. Ces résultats renforcent l’intérêt du dépistage précoce et de la prise en charge le plus tôt possible des personnes avec VIH. Ces résultats ont été publiés dans la revue Nature Communications le 11 janvier 2024.

cp_saez-cirion_natcomm_20240116.pdf - ( 364.55 Ko)